Tu n'entends plus ton GPS intérieur? C'est ok, c'est juste un cap. Mai envoie du lourd! Et il peut être compliqué de voir le vrai du faux dans tou ce qu'on capte et reçoit, sur tous les plans -matériels et énergétiques. Mai nous propose un mois encore plus intense, encore plus puissant, favorable au changement, mais ce changement passe par l'acceptation du chaos, et du fait d'accepter de ne pas tout comprendre et ne pas tout maîtriser au niveau mental.
On a le droit de se perdre, on a le droit de douter, on a le droit de ne plus savoir.. ça fait partie du cheminement pour laisser la conscience et les énergies se poser dans la matière, c'est notre plus grand défi. Nous sommes ici pour vivre en conscience, sans être complètement perché, vivre en conscience dans cette matière, vivre en conscience en se donnant la permission d'être humain avec toutes nos envies et nos besoins et toutes les possibilités de cette expérience, sans juger, sans rejeter, en accueillant tout ce qui vient et tout ce qui résiste et coince... Le monde terrien nous propose des extrêmes à l'extérieur: du grand beau, de magnifiques initiatives, de multiples actions positives, prises de positions alternatives, nouvelles manières de penser, de vivre, etc ET des remontées karmiques, transgénérationnelles et collectives de lutte, de violence, de jeux de pouvoir et de manque d'amour; Le monde énergétique subtil est aussi en bataille avec des êtres lumineux et des énergies sombres qui tiraillent dans tous les sens; les ombres s'immiscent partout, même derrière les discours lumineux, il y a une sorte d'usurpation d'identité en ce moment et démêler le vrai du faux est archi complexe si on réfléchit avec la tête.. C'est pourquoi le plus important c'est de s'autoriser à observer, ressentir et accepter tout ce qu'on ressent. Ce monde est le reflet de notre intérieur complexe, en mutation, avec nos belles prises de conscience, nos émerveillements et nos peurs, nos terreurs, nos blessures profondes. Notre nouvel humain en cours de téléchargement traverse une période chaotique. On peut se perdre au milieu de ce brouhaha dehors et dedans et ne plus savoir ce qui est juste, de quoi on a envie, ce que notre âme nous appelle à être, faire, etc. Si comme moi tu es sensible aux énergies, il se peut que cela rajoute une couche et que tu n'entendes vraiment plus ta voix intérieure au milieu des différentes voix de ton entourage ou de la société, et peut-être même que tu n'entends plus ton âme, ni tes guides au milieu de tout ce qui se joue dans le monde subtil. Tout est fait pour nous distraire et nous détourner de notre chemin...nous empêcher de déployer notre lumière. Cela peut amener à un flou artistique, une envie de tout anesthésier, tout arrêter car notre gps intérieur ne nous guide plus. Notre système nerveux se met en mode survie. C'est ok; ça ne sert à rien de lutter. Laissons faire l'énergie. La conscience travaille à travers nous et je te promets que les choses se mettent en place grâce à notre âme même si on a l'impression qu'on ne la ressent plus. Elle nous invite à réconcilier toutes les parties de nous, de les accepter et honorer vraiment. Le discernement va revenir, ayons confiance. Notre évolution est ultra rapide, ultra profonde, ultra bouleversante. Cela demande une compassion maximale envers soi-même, ça prend du temps à s'intégrer, alors donnons-nous le temps. Chaque crise va nous pousser à nous sublimer, à prendre une nouvelle posture, à redémarrer différemment. ça demande du courage, ça bouscule, ça questionne. Et offrons cette compassion aux autres aussi, quelle que soit leur vérité, leurs différences, car chacun-e fait juste de son mieux. Le monde est assez divisant comme cela, arrêtons de lutter contre nous-mêmes et les autres. On a le droit de se tromper. On a le droit de faire marche arrière. Personne ne détient la vérité absolue. Revenir en soi, s'écouter, se faire confiance et si on se trompe, on apprend; si on prend le mauvais virage, on recule et on change de chemin! C'est ok. Laissons-nous porter et acceptons toutes les possibilités de cette expérience. Dis-moi comment c'est pour toi et si besoin d'aide pour te recentrer et arrêter de lutter, rejoins l'école quantique! C'est fait pour ça, ne reste pas seul-e coincé-e dans un truc sombre, la lumière est toujours quelque part, mais on a parfois besoin d'un coup de pouce pour retrouver l'étincelle. Belle semaine, Sylvie
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Energies du mois de mai: changement, nouveau départ, élan..
ça peut être excitant ou effrayant ou les deux, comment c'est pour toi? As-tu des résistances? Le meilleur moyen d'enclencher le changement c'est d'être dans l'acceptation totale et inconditionnelle de là où nous en sommes. Qu'est-ce que ça veut dire pour toi? Pour moi ça se passe sur deux niveaux: s'accepter soi et accepter le monde. A quoi ça sert d'accepter? Accepter ce n'est pas la même chose que se résigner. Accepter permet aux émotions d'être accueillies et aux énergies de circuler. C'est ce qui débloque tout pour naviguer. Quand on résiste, on bloque le flow. Accepter nos frustrations, nos limites, la fin d'une histoire, d'un emploi, etc. C'est ce qui permet de s'ouvrir à la suite au lieu de se refermer et de se coincer encore plus. Comme la prière des alcooliques anonymes: "Accordez-moi le courage de changer les choses que je peux changer, la sérénité d'accepter celles que je ne peux changer, et la sagesse d'en connaître la différence.” S'accepter soi Pour ma part j'ai mis beaucoup de temps à m'accepter moi-même, complètement, avec mes "bons" et mes "mauvais" côtés, ma sensibilité, mes perceptions extrasensorielles et mes autres "différences". Même si je pense que c'est le travail de toute une vie, et il y a des domaines et des personnes avec qui c'est plus facile que d'autres, aujourd'hui, du haut de mes 45 ans, je suis plutôt satisfaite de qui je suis, ce qui était loin d'être le cas il y a 15 ans par exemple. Et toi tu en es où? Quand on s'accepte pleinement on peut aussi accepter les autres et vice-versa. Accepter le monde J'ai aussi toujours eu du mal à accepter certaines choses dans ce monde qui ne sont pas en phase avec mes valeurs. C'est également une démarche de longue haleine, surtout quand on a envie que les choses changent. Et même si on les voit changer, en 2024, franchement on est loin du monde dans lequel j'aimerais vivre. Le monde est toujours rempli de violence, d'abus, de jeux de pouvoir; nous sommes encore dans le paradigme matérialiste et capitaliste, à surproduire et à surconsommer. Nous détruisons notre planète, etc. Nous sommes aussi dans une transition absolument incroyable qui va dans toutes les directions, dans toutes les extrêmes. Il y a plein d'initiatives partout, depuis des années pour soutenir un paradigme plus énergétique, respectueux de tous les êtres vivants et permettant d'être en lien avec l'essentiel. A nous de les voir, d'y croire, de les montrer et de les fédérer pour aider les gens à y croire. Les deux co-existent. Et c'est bien plus nuancé que ça évidemment. Les couches d'oignon: Je dis souvent que nous sommes comme des oignons, avec des couches. On travaille sur quelque chose, cela semble acquis, et puis la vie nous envoie un événement ou un message qui nous amène plus loin, plus profondément pour travailler encore. Comme un jeu vidéo avec des niveaux... Aujourd'hui on nous demande de passer au niveau supérieur, encore. Plus que le monde, c'est le système de conditionnements qui me dérange; le fait de ne pas questionner ce que nous considérons comme "normal", parce que ça a toujours été comme ça, par exemple. Depuis mon enfance je suis convaincue que notre monde marche sur la tête et je me demandais (et je me demande encore parfois) ce que je suis venue y faire. Alors j'ai eu des époques où j'étais sur-adaptée et d'autres où j'ai été en rébellion totale. Ni l'une ni l'autre de ces stratégies n'ont fonctionné. J'ai fini par sortir du jeu; pas complètement on est d'accord, on a toujours un pied dans le système mais le plus possible de proposer autre chose, de trouver une alternative. Aujourd'hui, on m'invite à trouver la voie du milieu. Le milieu ça n'a jamais été un fort; je suis une personne entière, je préfère les extrêmes... tout quitter sur un coup de tête, mourir et renaître, encore et encore c'est mon profil de scorpion, entre autres. C'est génial et c'est aussi épuisant. Alors j'apprends les nuances, peut-être que c'est l'âge aussi qui amène cette sagesse, haha. On me demande (mes guides, mon âme, mon intuition, tu l'appelles comme tu veux) d'accepter ce système tel qu'il est pour l'utiliser pour faire ce que j'ai à faire et y déployer mon énergie, ma présence, pour toucher les gens différemment. Une partie de moi a mis du temps à accepter ce message, qui honnêtement, date de l'été passé, d'autant plus que mon séjour en Inde n'a fait qu'exacerber ma colère et ma tristesse envers tout ce qui va de travers. Mais peut-être que j'avais besoin d'aller au bout pour pouvoir accepter et me réconcilier avec tout ça. C'est souvent un processus expérimental; ça te parle? Pour moi ça passe donc par faire le deuil d'une partie de mon entreprise, et mettre en place d'autres projets, aborder d'autres types de personnes, d'autres organisations que j'avais mises de côté, parce que je ne pouvais pas faire autrement, parce que certaines de leurs valeurs ne me correspondaient pas totalement. Il s'agit de collaborer dans la différence, comme m'a dit une amie en début d'année. Comme un mantra qui résonne fort chaque jour dans tous les domaines. Et toi? As-tu des frustrations, des choses qui te pèsent en ce moment, sur ta situation personnelle ou dans ta vision de l'état du monde? des deuils à faire? On n’a pas toujours le choix de ce qui se passe, par contre on a toujours le choix de notre manière de réagir. Si on a l’impression de ne pas avoir le choix, c’est que ça vient appuyer sur un conditionnement ou un traumatisme inconscient, qu’il est possible de lever avec un peu de travail sur soi, en écoutant son âme. L’acceptation totale et inconditionnelle de là où nous en sommes, au niveau individuel et collectif, cela veut dire activer sa foi, avoir confiance que tout ce qui se joue se fait POUR nous et pas contre nous et que même quand on perd le sens, qu’on ne voit pas l’issue, ce sera bien mieux que ce qu’on s’imagine, et l’on trouvera le sens après. C'EST LE PROGRAMME DE L'ECOLE QUANTIQUE AU MOIS DE MAI REJOINS-NOUS! 2 séances en direct ce soir 6 mai et le 21 mai + replay et 1 bonus sur la compassion pour soi-même pour s'auto-soutenir dans ces périodes de grand changement individuel et collectif. Belle semaine Sylvie Aujourd'hui j'aimerais attirer ton attention sur le mal-être des enfants.
Que tu sois parent ou pas… car ce mal-être est un appel au secours qui nous montre l’état de notre monde, et nous invite aussi à le voir chez nous et chez les autres adultes. De plus en plus de victimes de harcèlement à l’école, de plus en plus de « TDAH » et autres étiquettes, d'autres démontrant des soucis de colère exacerbée, de la violence, d'autres encore angoissés ou en dépression. Il y a les chiffres officiels et il y a tous les autres dont on ne parlent pas pas car ils s’adaptent et gardent tout à l’intérieur ; il nous appartient d’aider les enfants, soit en les accompagnant, soit en aidant leurs parents, soit en travaillant sur soi-même. Tu peux commencer par te remémorer ton enfance ; as-tu des souvenirs, bons ou mauvais ? Parfois on souffre d’amnésie traumatique… donc si tu n’as pas de souvenir du tout je t’invite à explorer ça avec un professionnel, car cela cache quelque chose. Dans tous les cas, tout ce qui se passe dans notre enfance a un impact sur notre vie d’adulte : notre manière de voir le monde, nos mécanismes de survie, de protection, nos relations, notre niveau d’estime de nous, nos rêves, etc. Je suis née en 1978 ; hypersensible, j’ai eu des visions très jeune (je voyais mes guides et des personnes décédées), et j’étais une éponge émotionnelle. Mon mécanisme de survie à moi, a été de m’adapter : m’adapter à une famille cartésienne, à une société où l’hypersensibilité était perçue comme une faiblesse, et les visions comme de la folie. Je n’arrivais pas à exprimer mes émotions car on ne m’avait pas enseigné comment faire. Et quand ça débordait, c’était la colère qui jaillissait. Derrière il y avait quoi ? Une énorme tristesse et une grosse anxiété. C’est ce qui amène toute mon empathie pour les enfants en souffrance. Je suis passée par là et notre monde dans les années 1980 était beaucoup moins angoissant et complexe que celui d’aujourd’hui… J’ai fait des crises d’asthme très tôt (j’étouffais), des terreurs nocturnes (angoisses existentielles), j’ai eu de gros soucis aux genoux (mal dans mes relations) et au dos (l’impression d’être seule, sans soutien), puis des angines à répétition (chakra de la gorge bloqué) jusqu’à mes 15 ans; ensuite j’ai enchaîné les épisodes dépressifs , les crises d’angoisse jusqu’à toucher le fond à mes 29 ans (état dissocié). Pour mieux rebondir certes… mais… cela m’a pris longtemps pour avoir confiance en moi, apprendre à m’aimer, me connaître, redevenir moi, m’écouter, mettre mes limites, etc. Tout ça pour te donner un exemple et comparer avec ce qui se passe aujourd’hui pour les enfants. Plus on prend le taureau par les cornes maintenant, moins nous aurons d’adultes en souffrance plus tard. Avec toute la peur qu’on nous balance, les enfants sont terrorisés. Même s’ils ne regardent pas les actus… les énergies et les égrégores les touchent ! Nous sommes stressés, nous courons tout le temps, nous jouons le jeu de ce monde malade ; nous leur donnons un terrible exemple ; que nous soyons parents ou non, nous avons tous une influence sur les petits ! Il est important de se reconnecter à la légèreté, au rêve, au jeu et de leur donner de l’espoir, de leur montrer l’exemple ; on peut aussi partager sa journée, sa souffrance (ils la sentent de toute façon), leur montrer que c’est ok d’exprimer ce qui va mal, et de leur montrer les clés, en prenant soin de soi pour aller mieux ou en demandant de l’aide, en cherchant des solutions. Il faut que nous soyons une inspiration à tous les niveaux. Nous avons une responsabilité ! Certains enfants s’adaptent, se renferment, n’expriment pas leur souffrance, leurs frustrations et tombent malades car ils intériorisent. Questionne-toi si ton enfant tombe souvent malade. Certains ne s’adaptent pas, se mettent en colère, font des « crises », deviennent « méchants ». Ils ne sont pas méchants, ils n’ont juste pas l’espace approprié pour faire sortir ce qui se passe à l’intérieur. Ce sont des signes forts pour nous dire que quelque chose ne va pas. A nous de les aiguiller et de les accompagner. Chez les adultes c’est la même chose : -le collègue, l’ami ou le conjoint qui est effacé, qui dit oui à tout, qui est dans la perfection, c’est celui qui est en train de construire le terrain de son burn-out ou de son cancer. -le collègue, l’ami ou le conjoint qui vomit son mal-être sur l’autre, c’est aussi un être en souffrance. Voilà où nous en sommes. Pour moi ce n’est pas l’enfant qui doit changer mais l’école et l’environnement. Il est important de lui apporter un lieu où il peut être lui-même. Avec ses parents oui c’est déjà super évidemment si on peut offrir l'espace et l'écoute adéquats. Mais souvent cela sort mal et au "mauvais" moment. Le parent sert de punching-ball et selon son état à lui cela peut être très lourd et dur à gérer; c'est tout le monde qui souffre... Se faire accompagner est important. Un psy c’est bien, une activité d’art-thérapie, ou de mouvement somatique, ou quelque chose avec les animaux et la nature, apportera une guérison plus grande. C’est pareil pour les adultes ; c’est dangereux de s’adapter à une société folle, Il nous appartient de dire stop, de dire non. Travailler sur soi ça peut être aussi pour mettre ses limites aussi et montrer l’exemple. Arrêter d’accepter l’inacceptable. Tout ça n’est pas normal. 2024 je l’ai déjà dit c’est l’année du « stop, ça suffit ». Ça devient urgent, c’est maintenant le moment de bascule, à nous de jouer. Trop de gens galèrent, Trop d’enfants galèrent, A nous d’être là. Arrêtons de nous jeter de la merde, ouvrons nos cœurs, soyons gentils, soyons vrais, entraidons-nous. Offrons un autre modèle sociétal. Je te soutiens volontiers sur ce chemin pour travailler sur toi ou avec ton enfant. Pour toi c’est ici Pour ton enfant c’est ici |
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AuTEURJe laisse ici mes pensées, ce qui me traverse. L'écriture me permet d'accueillir et de libérer ce qui je sens en moi et autour de moi. Si dans le processus, cela peut aider autrui, c'est encore mieux :-) Archives
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